Le logo « Sentinelle Slow Food »

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Slow Food est un mouvement qui met en avant des producteurs qui préservent et valorisent des produits et un savoir-faire pour l’alimentation et la biodiversité. Un véritable plus pour les producteurs traditionnels engagés ! Les producteurs qui suivent ce mouvement peuvent obtenir le logo « Sentinelle Slow Food ».

Vous trouverez notamment du cidre, des fromages, des huîtres (comme les huîtres de Listrec produites, avec les mentions « Sentinelle Slow Food » et « Nature & Progrès », par des ostréiculteurs situés à Locoal-Mendon dans le Morbihan. Vendues au chantier ou expédiées par leurs soins, vous pouvez aussi les acheter en circuits courts via Poiscaille, par certains groupements Slow Food ou dans certains Biocoop) et d’autres produits.

On délaisse les graisses saturées au profit des graisses insaturées

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Dans un rapport publié en 2010, l’Organisation mondiale de la santé (l’OMS) précise que « l’apport quotidien en calories provenant des matières grasses ne devrait pas dépasser 30 % du total de l’apport énergétique. Elle nous incite à délaisser les acides gras saturés (leur consommation en excès fait augmenter le taux du « mauvais » cholestérol sanguin) au profit des acides gras polyinsaturés (oméga-3, oméga-6) et monoinsaturés (oméga-9) et à aller vers l’élimination des acides gras trans.

Attention aux acides gras trans : certains sont d’origine naturelle (viandes, produits laitiers), mais la majorité sont d’origine technologique synthétisés via des procédés industriels comme l’hydrogénation à partir d’huiles végétales, de margarines. Ce type de procédé permet de faire passer des graisses à l’état liquide à l’état solide, facilitant ainsi leur emploi et leur stockage et les rendant moins sensible à l’oxydation.[1] On les retrouve notamment comme conservateurs et stabilisateurs dans les produits alimentaires transformés comme les pizzas, les quiches, les viennoiseries, les margarines, certains plats cuisinés… Une étude canadienne[2] montre les effets néfastes de ces acides gras trans sur les taux de cholestérol, accidents cardiovasculaires, diabète ou obésité. Les études épidémiologiques ont montré qu’une consommation excessive d’acide gras trans (apports supérieurs à 2 % de l’apport énergétique total) serait associée à une augmentation du risque cardio-vasculaire.


[1] https://www.anses.fr/fr/content/les-acides-gras-trans

[2] Intake of saturated and trans unsaturated fatty acids and risk of all cause mortality, cardiovascular disease, and type 2 diabetes: systematic review and meta-analysis of observational studies – De Souza RJ, Mente A, Maroleanu A, et al. (2015) – British Medical Journal 351:h3978. https://doi.org/10.1136/BMJ.H3978

Essayez le wok

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Le principe : il ressemble à une sorte de cocotte « hémisphérique » avec un fond de petit diamètre et de larges bords plus ou moins hauts.Ses bords évasés retiennent bien la chaleur. Mijoter, frire, sauter ou cuire à la vapeur… le wok est polyvalent. Bien connu de la cuisine asiatique, vous pouvez cuire des légumes, pâtes, viandes et autres aliments… pour le plus grand plaisir des papilles 

Comment bien le choisir ? Optez pour un wok de taille moyenne (30 cm environ), pas plus petit sinon les aliments seront entassés au fond. Certains modèles sont équipés d’un couvercle, ce qui vous permet de cuire à l’étouffée ou de réaliser des plats mijotés. Préférez un wok en fonte sans revêtement adhésif (pensez à le culotter avant son premier usage). Vous pouvez le choisir avec deux poignées ou un manche. Un wok à fond plat est plus adapté à une plaque électrique, un fond rond est mieux pour une cuisinière à gaz.

Avantages : le wok vous permettra de cuire rapidement vos aliments avec peu de graisses : une cuillère à café d’huile d’olive suffit.

Mon astuce : attention la taille annoncée, par exemple 40 cm, ne correspond pas au fond mais au diamètre de la partie la plus évasée. Nettoyez-le à l’eau chaude avec une brosse en bambou (évitez le lave-vaisselle pour les woks en fonte ou en acier. Possible seulement pour ceux en inox) puis essuyez-le avec un torchon doux.

Les aliments brûle-graisse : les 50 aliments « anti-calories » pour mincir tout en mangeant. Editions Larousse

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Sortie le 7 avril 2021.

Un régime n’est pas toujours nécessaire. Il suffit parfois de changer quelques habitudes en misant sur certains aliments. Le secret des aliments brûle-graisse  ? Ils forcent l’organisme à consommer plus de calories pour les assimiler qu’ils ne lui en apportent !
 
Découvrez dans ce guide, de A à Z  :
• Les meilleurs fruits  : anticellulite (ananas, papaye), brûleurs de sucres (citron et autres agrumes), diurétiques et énergétiques (framboise, raisin), coupe-faim (pomme)…
• Les meilleurs légumes  : minceur (artichaut, céleri), absorbeurs de graisse (aubergine), rassasiants (riz complet), super détox (radis noir)…
• Les autres aliments brûle-graisse à découvrir  : boissons (thé vert), super fibres, antioxydants, diurétiques…
 
Avec des recettes pour les consommer en se faisant plaisir  !

Article paru dans Madame Figaro

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Récolte, recette, bienfaits… Tout savoir sur la soupe d’orties

écrit par Elise Assibat – paru dans Madame Figaro le 19 avril 2021

https://madame.lefigaro.fr/cuisine/recolte-recette-soupe-orties-bienfaits-200421-196205

La soupe d’orties dans toute sa splendeur.

Longtemps reléguée au rang de mauvaise herbe, l’ortie revient sur le devant de la scène culinaire, en raison de sa saveur et ses vertus.

L’ortie, c’est cette herbe de notre enfance, celle qui nous poursuit le long des chemins, dans les champs, les broussailles, et les jardins. Celle qui pique, démange, et dont on se passerait bien pendant les promenades en plein air. Pourtant, cette plante riche en fer, magnésium et vitamines serait un fidèle allié pour la santé dès lors qu’on la cuisine, et constitue une savoureuse recette de saison. Au lieu s’y piquer, et si on s’y frottait ?

Vitamine C, fer, magnésium…

Selon Rachel Frély, journaliste spécialisée dans l’aromathérapie, la nutrition et auteure Des secrets de l’ortie (1), «la soupe est intéressante, notamment pour soulager des maux physiques tels les articulations douloureuses et les rhumatismes. Elle est également conseillée en cas de ballonnements ou de lourdeurs d’estomac.»

Si vous vous sentez fatigué ou surmené, sa nature adaptogène augmenterait la capacité de l’organisme à mieux gérer le stress. Sans compter toutes les valeurs nutritionnelles dont elle dispose. «L’ortie contient six à sept fois plus de vitamine C que l’orange, deux fois plus de fer que les épinards et presque autant de calcium qu’une portion de fromage, précise Rachel Frély. Et c’est aussi une excellente source en magnésium, en zinc et en vitamines du groupe B…»

Comment bien choisir son ortie ?

La plus courante est l’ortie dioïque appelée aussi «ortie commune» ou «grande ortie». Cette plante herbacée peut atteindre jusqu’à 1,50 m de hauteur et pousse en abondance à l’état sauvage. Elle se cache souvent en forêt, dans les recoins les plus humides. Sa floraison a lieu de juin à octobre mais c’est au printemps qu’il est conseillé de récolter ses feuilles, période de l’année durant laquelle elles sont les plus riches en fer.

Pour reconnaître l’ortie, rien de plus simple : elle possède une tige quadrangulaire couverte de poils qui se cassent aussi facilement que du verre, et des feuilles fortement dentées et velues. Sa mauvaise réputation provient d’ailleurs de leurs propriétés urticantes. «La partie renflée à la base du poil est un réservoir rempli d’un liquide allergisant riche notamment en histamine, explique Rachel Frély. Au moindre contact, les poils se plantent comme des aiguilles dans l’épiderme et libèrent ainsi ce liquide qui provoque une petite brûlure et forme souvent une petite papille rougeâtre.»

Les astuces pour récolter l’ortie.

L’étape de la récolte est la plus délicate. Sans grande surprise, il est conseillé de porter des gants et d’utiliser un sécateur. On peut aussi privilégier une journée de pluie pour la cueillette, l’ortie étant nettement moins urticante quand elle est mouillée. Rachel Frély recommande de récuperer les feuilles par en dessous, en les saisissant à la base au niveau de la tige, là où les poils urticants sont les moins présents.

Mieux vaut également opter pour de jeunes pousses, la plante adulte possèdant une amertume désagréable et pouvant provoquer chez certains des dysfonctionnements rénaux, selon la spécialiste. «La couleur des jeunes pousses tire vers le vert plus clair et les feuilles sont plus tendres, moins fibreuses», ajoute-t-elle. Si l’on préfère éviter l’étape récolte, on scrute les étalages de certains marchés. Il est possible de trouver des bouquets d’orties fraîches en cette saison.

Quid de la recette ?

Avant toute chose, pour préserver au maximum les bienfaits de l’ortie, il est important de la cuisiner rapidement après l’avoir cueillie. Ensuite, le tout est d’une simplicité enfantine et ne demande que dix minutes.

Pour réaliser la soupe, on a besoin de 400 g de feuilles d’orties fraîches. On les détache des tiges à l’aide de gants en caoutchouc, on les lave à l’eau froide puis on hache le tout. Rachel Frély le rappelle : le pouvoir urticant de la plante disparaît lorsque elle est hachée, cuite ou séchée. On verse ensuite les feuilles dans une casserole remplie d’eau, et on fait cuire durant 25 minutes à feux doux. «Attention à ne pas dépasser 30 minutes de cuisson pour préserver les nutriments», souligne la spécialiste. Du sel, du poivre, on retire du feu et on mixe.

Ne pas dépasser 30 minutes de cuisson pour préserver les nutriments

RACHEL FRÉLY, JOURNALISTE SPÉCIALISTE EN AROMATHÉRAPIE ET EN NUTRITION

Si son goût herbacé saura ravir les amateurs de blettes et d’épinards, il est aussi possible de l’adoucir pour les plus réfractaires. Pour ce faire, on ajoute trois pommes de terre à la préparation. «Quant à la consistance, précise Rachel Frély, on peut y ajouter une noisette de beurre ou une cuillère à soupe de crème fraîche pour un effet

Pour les cueilleurs dont la récolte a été si florissante qu’il leur reste des feuilles, il est aussi possible de faire cuire les jeunes pousses d’ortie de la même façon que des épinards. On peut alors réaliser une omelette, une quiche ou un cake salé. L’ortie étant plus riche encore en protéines que le soja, elle insufflera une bonne dose d’énérgie à l’organisme en plus de régaler… Pourquoi s’en priver ?

(1) Les secrets de l’ortie, de Rachel Frély, (Éd. Larousse), 192 pages, 6,95 €.

Les secrets de l’ortie

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Les secrets de l’ortie – Parution le 7 avril 2021 – Editions Larousse

Pour renforcer vos articulations, lutter contre la fatigue ou booster vos plantes… si vous faisiez confiance à l’ortie  ?
 Redécouvrez toutes les vertus de ce produit 100  % naturel et oubliez les allergènes, tensioactifs et perturbateurs endocriniens trop souvent présents dans les produits que vous utilisez tous les jours  !
 Santé, beauté, cuisine, jardin  : vous trouverez dans ce guide détaillé toutes les recettes et astuces à base d’ortie pour prendre soin de vous et de vos plantes.
 Écologique, simple à utiliser et économique, l’ortie est votre alliée  !

Les secrets de la lavande

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Les secrets de la lavande – Sortie le 7 avril 2021 aux éditions Larousse.

Pour apaiser, soigner, parfumer, assainir… Si vous faisiez confiance à la lavande  ?
 Redécouvrez les nombreuses vertus de ce produit 100 % naturel  ! Oubliez les allergènes, tensioactifs et autres perturbateurs endocriniens des produits que vous utilisez chaque jour.
Soins beauté et santé, entretien du linge et de la maison, cuisine… Retrouvez dans ce guide détaillé recettes et astuces à base de lavande, sous toutes ses formes  : fleurs séchées et fraîches, huile essentielle, eau florale. Elle sera votre meilleure alliée  !

Les huiles essentielles pour les seniors

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Article paru le 1er mars 2021 dans Plantes et Santé
Les huiles essentielles pour les seniors

Par Françoise Couic Marinier et Rachel Frély, aux éditions Solar.
Très technique, la première partie de ce guide aborde les questions de la ­fabrication des huiles essentielles, de leurs chémotypes, de leurs composants chimiques ou encore de leur qualité ou contre-indications. Les deux auteures ciblent ensuite les huiles essentielles stars des seniors.
Vous le trouverez à cette adresse :
https://www.plantes-et-sante.fr/articles/livres/4330-les-huiles-essentielles-pour-les-seniors

Les bons gestes à adopter durant cette période de Covid

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Aérez en grand, même que 10 minutes, mais faites-le absolument tous les jours.

Lavez vous les mains régulièrement, notamment après chaque sortie (courses ou autres) ou utilisez du gel hydroalcoolique si vous n’avez pas d’eau à poryée de main.

Portez un masque quand vous vous déplacez ou en présence d’une autre personne : pour vous protéger vous et votre entourage.

Evitez de surchauffer. Pour humidifier l’air à la maison, posez un humidificateur rempli d’eau ou posez un bol d’eau sur les radiateurs.

Adoptez l’aromathérapie : quelques goutes d’une huile essentielle à respirer sur un mouchoir, à faire diffuser dans un diffuseur ou à verser dans une coupelle. Vous trouverez la liste des huiles essentielles à utiliser dans : « Huiles essentielles : le guide complet pour toute la famille » aux éditions Solar, un guide co-écrit avec Françoise Couic-Marinier pharmacienne aromathérapeute.

Les huiles essentielles pour la femme enceinte

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Voici mon dernier livre, un guide co-écrit avec Françoise Couic-Marinier, aromathérapeute et pharmacienne. Il sortira le 18 mars 2021, aux éditions Solar.

La nouvelle collection de référence des huiles essentielles pour soigner toute la famille, avec un guide dédié à chaque âge. Dans ce guide destiné à la femme enceinte, 100 pathologies décryptées, plus de 500 formules aroma adaptées aux spécificités de la grossesse, et les bons gestes au quotidien pour se soigner en toute sécurité.

Pendant la grossesse, nombre de médicaments conventionnels étant contrindiqués, difficile de soigner les petits maux du quotidien ! Alors oui, les huiles essentielles sont une alternative naturelle et efficace pour prendre soin de soin lorsqu’on est enceinte, après 3 mois de grossesse révolus, à condition de connaître et respecter toutes les précautions d’usage.
Dans ce guide dédié à la femme enceinte, vous trouverez des formules adaptées aux besoins de la grossesse, soigneusement conçues à partir des données scientifiques les plus actuelles, pour soigner tous les maux du quotidien en toute sécurité.
Une centaine de pathologies décryptées, de l’angine au zona, en passant par les nausées, les douleurs pelviennes ou encore le stress : la description précise des symptômes, les bons gestes au quotidien, et les traitements les plus efficaces.
Des formules complètes et accessibles, clairement expliquées pour chaque pathologie : l’huile essentielle star, les vertus des HE proposées et celles de leurs synergies, une huile essentielle de remplacement pour un usage simple et pratique.
Une utilisation des huiles essentielles en toute sécurité : des adaptations posologiques ainsi que des précautions d’emploi et des voies d’administration spécifiques à la femme enceinte (voie orale à proscrire par exemple)…
La trousse aroma de la femme enceinte avec le top 6 des HE et des hydrolats aromatiques : leurs principales utilisations et les contre-indications.