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Orange : pour vous donner du pep’s !

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Connue depuis des siècles, l’orange fait notamment partie des produits phares de la diététique chinoise traditionnelle. Vous en trouverez durant toute l’année, mais c’est l’hiver qu’elle est la plus savoureuse. Pensez-y pour vous donner du pep’s !

Ses atouts santé

– L’orange est réputée pour sa richesse en vitamine C : une orange moyenne compte environ 80 mg de vitamine C, le jus de deux oranges couvre pratiquement les deux tiers du besoin quotidien en cette vitamine. Ce fruit permet de donner du tonus et renforcer les défenses naturelles, notamment pour affronter les maladies hivernales.
– Elle contient aussi d’autres vitamines (B9, B3 et E) et des minéraux (calcium, potassium, magnésium, phosphore, sodium), mais peu d’oligo-éléments (fer, zinc, manganèse).
– Lorsqu’elle est bien colorée, l’orange est riche en bêta-carotène, un antioxydant essentiel ayant une action de protection sur les maladies cardio-vasculaires et le vieillissement prématuré. Cette action, conjuguée à celle de la vitamine C est renforcée par la présence de vitamine E.
– Idéale après un repas copieux. Ses acides organiques naturels stimulent les sécrétions digestives et facilitent la bonne assimilation des aliments. Pour bien digérer un repas copieux, buvez un jus d’orange en apéritif ou consommez une orange à la fin du repas.
Des fibres efficaces. Une orange consommée au petit déjeuner aide votre transit intestinal à bien fonctionner. Elle fournit une quantité de fibres (près de la moitié de pectines) bien tolérées par l’organisme.
– Le plus : des études ont montré que la vitamine C, consommée quotidiennement sous forme de jus d’orange, permettrait de réduire l’oxydation des lipides sanguins et retarderait le processus oxydatif, tous deux des facteurs de risque de maladies cardio-vasculaires.

A éviter si
– N’en prenez pas le soir au dîner ou avant de vous empêcher car elle pourrait vous empêcher de dormir, en raison de sa teneur en vitamine C.
– Evitez d’en consommer en même temps que des médicaments acides. Espacez d’au moins trois heures entre la prise du médicament et la consommation de l’orange.
– Evitez d’en prendre en cas de reflux-oesophagien (qui correspond à des remontées acides depuis l’estomac vers l’oesophage) ou en phase aiguë de hiernie hiatale. En raison de son acidité qui s’ajoute à celle des sucs gastriques, l’orange peut causer une irritation de la muqueuse œsophagienne ou causer des brûlures épigastriques.
– Chez certaines personnes, elle peut être indigeste prise le matin à jeun.

Mon astuce pour bien la choisir : prenez-la ferme et lourde, avec une peau lisse sans taches noires, ni moisissures. Ne vous fiez pas ni à l’épaisseur de la peau, ni à sa couleur, qui dépendent du climat sous lequel l’orange a poussé. Préférez les oranges issues de l’agriculture biologique (label AB) afin d’éviter les traitements chimiques avant ou après récolte.

Le poireau : un légume de saison aux vertus inestimables

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Légume très ancien, le poireau, de la famille des Alliacées, est classé en fonction de sa taille et de sa période de production. On le retrouve ainsi toute l’année sur les étals. Riche en eau, il présente d’excellents atouts nutritionnels pour notre santé.


Ses atouts santé

– Le poireau est bien pourvu en minéraux (surtout du potassium, phosphore, magnésium, calcium, sodium, phosphore) et en oligo-éléments (fer, sélénium, zinc, cuivre, manganèse).
– Les teneurs vitaminiques varient selon la partie du poireau : elles sont moins élevées dans le « blanc » et plus abondantes dans le « vert ». Les variations sont très marquées pour la provitamine A, avec des différences plus modérées pour les autres vitamines (C, B9, B3, B6, K1). A titre d’exemple, le « vert » est cent fois plus concentré en carotènes et deux fois plus en vitamine C que le « blanc ».
– Il est particulièrement riche en fibres qui permettent de stimuler le transit intestinal. Les pectines sont plus abondantes dans le « blanc » et dans le « vert », les fibres sont surtout représentées par des celluloses et des hémicelluloses.
– C’est un aliment minceur apprécié, à condition de ne pas le noyer sous une vinaigrette ou une autre sauce grasse. Composé à 91 % d’eau, le poireau est peu énergétique. L’essentiel de son apport calorique provient de ses glucides, surtout composés de fructose et de glucose.
– La présence de fructosanes associées à la richesse du potassium et à un taux modeste de sodium expliqueraient les vertus anti-rétention d’eau du poireau. De plus, les fructosanes confèrent au poireau sa saveur sucrée et surtout une action diurétique.
– Les composés soufrés sont abondants et sont à l’origine de l’odeur caractéristique du poireau.

A éviter si
– vous êtes allergique, avec des réactions croisées avec l’ail ou l’oignon.
– Evitez d’en consommer si vous souffrez de calculs rénaux ou urinaires, car le poireau est riche en oxalates.

Reconnu par la science
– Une étude montre que l’administration d’extraits de poireau administrés chez l’animal ferait diminuer le taux du « mauvais cholestérol » (LDL). Les flavonoïdes et les saponines contenus dans le poireau pourraient jouer un rôle dans ces effets.
– D’autres études indiquent que le fait d’en consommer régulièrement pourrait protéger contre les risques de cancers de l’estomac et de l’intestin.

Pour bien le choisir
Les feuilles doivent être bien dressées, d’un vert bien soutenu, sans flétrissures. La racine doit avoir une forme renflée. La tige doit être bien droite, ferme avec le blanc qui doit représenter au minimum le quart de sa longueur. Vous pouvez les conserver jusqu’à cinq jours à température ambiante (si votre logement est trop chauffé, mettez-les dans le bas à légumes de votre réfrigérateur).

Pour en savoir plus : Les 150 super-aliments pour votre santé. Ed. Larousse.

Le pollen : un fortifiant naturel

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Récolté sur les fleurs, le pollen est ensuite aggloméré par les abeilles sous forme de pelotes. Il contient de nombreuses substances actives : des vitamines (vitamine B, bêta-carotène), des minéraux (magnésium, calcium, phosphore), des enzymes, des protéines et des acides aminés essentiels. Le pollen stimule l’organisme et l’aide à prévenir les agressions microbiennes en renforçant le terrain.
Comment le choisir ? Choisissez un pollen bien sec, qui ne fermente pas et dont les pelotes sont de couleurs variées (du jaune clair au brun foncé). Le pollen associé à la propolis et à la gelée royale permet de stimuler les défenses immunitaires.
Comment l’utiliser ? Une à deux cuillères à soupe par jour pendant un mois. Il doit être très soigneusement mastiqué et mélangé à la salive. Il faut attendre plusieurs jours pour s’adapter à son goût désagréable. Vous pouvez le mélanger à du miel, une compote ou un yaourt.
Où en trouver ? Chez un apiculteur, sur certains marchés, dans des magasins de miel, en boutiques de diététique.

La gelée royale pour donner un coup de fouet

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La gelée royale est une substance entièrement naturelle, riche et complexe, sécrétée par les abeilles nourricières. C’est la nourriture exclusive des larves d’abeilles jusqu’au 3ème jour de leur vie et la reine tout au long de son existence. C’est un produit naturel, légèrement gélatineux, de couleur blanchâtre, au goût quelque peu acide. La gelée royale est un cocktail de vitamines et contient notamment des protéines, acides aminés, oligo-éléments, substances minérales.
C’est un excellent stimulant qui améliore l’état général. Elle agit sur l’ensemble de l’organisme qu’elle fortifie. Elle renforce le terrain, permettant la prévention des maladies infectieuses.
Comment l’utiliser ? Il suffit de prendre, en cure de quatre à cinq semaines, chaque matin à jeun (ou un quart d’heure avant le repas de midi) une cuillère à café de gelée royale pure qu’il faut laisser fondre lentement sous la langue. Deux cures par an sont conseillées : l’une à l’automne et l’autre à la fin de l’hiver.
Comment la conserver ? Au réfrigérateur.
Où la trouver ? Dans les boutiques de diététique, chez les apiculteurs, dans certaines pharmacies et chez les spécialistes du miel.

10 gestes dans la journée d’un écocitoyen

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Etre écocitoyen, c’est veiller au quotidien à ne pas polluer et à économiser l’énergie et l’eau, notre bien le plus précieux. Chacun est responsable de l’état de l’environnement.

A la maison ou au bureau, des gestes simples à la portée de tous permettent de protéger notre écocsystème.
1- Le matin, pour votre toilette, préférez une douche à un bain, car celle-ci ne consomme que 25 à 60 litres contre 200 litres pour une baignoire.
2- Pour laver votre linge, réduisez les doses de lessive et privilégiez celles sans phosphates et en poudre, car les lessives liquides rejettent en moyenne trois fois plus de tensioactifs. Evitez le sèche-linge qui consomme jusqu’à deux fois plus d’énergie que le lave-linge.
3- Pour vous déplacer, optez dans la mesure du possible pour les transports en commun, et quand il fait beau, marchez ou circulez en vélo, c’est bon pour la santé ! En voiture, ne donnez pas de grands coups d’accélérateur avec un moteur froid, ne laissez pas tourner le moteur en stationnement, changez régulièrement les filtres et les pièces mécaniques liés à la carburation et à l’injection.
4- Pour faire vos courses, prenez un panier ou un cabas pour éviter les sacs en plastique non recyclables.
5- Pour vous éclaire, adaptez la puissance des ampoules à vos besoins. Pour les pièces d’habitation, le réflexe écocitoyen s’orientera vers les lampes fluos compactes, dite basse consommation, qui consomment trois à cinq fois moins d’énergie que les lampes incandescentes, pour la même production de lumière et qui durent six à dix fois plus longtemps. Installez des variateurs de lumière dans les pièces principales et éteignez les lampes dans les pièces inoccupées.
6- Pour l’entretien de la maison, évitez les produits superpuissants mais toxiques pour l’environnement. Une ecoménagère bien équipée possède du savon noir, des paillettes de savon de Marseille, du bicarbonate de soude, du vinaigre blanc, de l’huile de lin, du jus de citron.                                                          Pour en savoir plus : Produits d’entretien à faire soi-même naturels et économiques. Editions Chariot d’Or.                                                                                                                                                                         7- En faisant la vaisselle, ne laissez pas couler l’eau inutilement (idem pendant le rasage ou le brossage des dents), cela peut doubler, voire tripler le volume d’eau consommé.
8- Pour les ordures ménagères, faites le tri sélectif. Des conteneurs pour papier, plastique, verre… existent en ville comme à la campagne. Portez à la déchetterie les déchets encombrants, toxiques (piles, huile de vidange, batterie…) et les déchets verts.
9- Si vous avez un balcon ou un bout de jardin, arrosez vos plantes le soir, quand  l’évaporation est la moins forte : cela économise 50 % d’eau. Vous pouvez aussi récupérer l’eau de pluie pour l’arrosage. Supprimez insecticides, pesticides et engrais chimiques, souvent toxiques pour les ressources d’eau. Préférez les produits naturels (purin d’ortie, coccinelles contre les pucerons). Vous pouvez aussi fabriquer de l’engrais naturel en compostant les déchets organiques dans votre jardin.                          Pour en savoir plus : Produits naturels pour le jardin. Editions Chariot d’Or.
10- Le soir, fermez les volets pour éviter des déperditions de chaleur et baissez le chauffage. Installez un thermostat qui régule la température au niveau désiré. Dans certaines régions, envisagez l’énergie solaire. Renouvelable, propre et gratuite en-dehors des coûts d’installation (où l’on peut bénéficier d’une subvention), ce mode de chauffage peut, selon l’ensoleillement, couvrir 40 à 70 % de vos besoins en chauffage et en eau chaude. Un appoint est indispensable pour prendre le relais quand le soleil n’est pas au rendez-vous.

Vous pouvez me contacter si vous avez du mal à vous procurer mes deux livres aux éditions Chariot d’Or.

 

Fin de vie : et si on en parlait?

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Invités : Jean-François Chevalier, spécialiste assurance au Crédit Mutuel; Rachel Frély, auteure du Guide des formalités après un décès (éditions Dangles, 2012); Laurence Medici, responsable de la chambre mortuaire de l’hôpital Saint Louis à Paris; Sylvie Poulain, dame de compagnie au sein du collectif Chouchout’âge.

Samedi 08 Octobre 2016

Pour m’écouter en podcast sur Vivre FM : http://www.vivrefm.com/podcasts/emission/72

On la voit souvent à la télé, on l’entend annoncer à la radio. Elle est lointaine, nombreuse, incolore. Pourtant, quand elle fait une violente irruption dans nos vies, on n’est pas préparés. Déflagration sociale ou drame personnel, la mort hante les hommes ordinaires et les penseurs depuis la nuit des temps.A en croire le site Planetoscope, près de 2 personnes meurent chaque seconde dans le monde. La mort devient alors mouvement perpétuel, passage obligé dans la vie de chaque être humain. Et personne ne nous apprend à mourir.Peut-on apprivoiser la mort ? Comment la préparer pour soi et pour ses proches ? Comment jongler entre formalités administratives et bouleversements émotionnels ? Voilà quelques interrogations que je vais essayer d’explorer avec vous, dans ces Clés de l’Autonomie.

Manque de lumière : pensez à la luminothérapie

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fatigueUne lampe de luminothérapie a une action bénéfique sur la fatigue ou la dépression saisonnière, en replaçant l’horloge biologique interne en phase par rapport à l’horloge réelle de la journée. Elle est bien utile dès l’automne quand le manque de lumière entraîne une baisse de moral et d’énergie. A la maison ou au bureau, trente minutes d’exposition suffisent pour pallier le manque de lumière naturelle et permettre de se sentir plus dynamique.

Mon conseil : préférez un modèle qui vous donne la possibilité de choisir l’intensité de la lumière ainsi que la durée de stimulation. La lampe doit être réglée sur une puissance suffisante (10 000 lux).

Pour en savoir plus : Comment dire adieu à la fatigue ? Editions Mango.

Pour vous aider dans les formalités en cas de décès

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Ecoutez VIVRE FM avec mon livre aux éditions Piktos « le guide des formalités après un décès« . L’émission sera diffusée le samedi 8 octobre entre 11h et 12h sur VIVRE FM.
Des conseils pour aider à surmonter les épreuves (notamment administratives) lors d’un décès. Qui déclare le décès ? Comment organiser les obsèques ? Qui supporte les frais funéraires ? Quelles sont les démarches à suivre ?…

Elle sera ensuite disponible en podcast à cette adresse:
http://www.vivrefm.com/pod..

Si vous avez du mal à vous procurer mon livre, n’hésitez pas à me contacter.

 

L’endive : pauvre en calories et riche en fibres

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L’endive
Légère et rafraîchissante, l’endive est légèrement diurétique, pauvre en calories et riche en fibres. Appelée aussi chicorée de Bruxelles, c’est le troisième légume les plus consommé en France.
Les 5 bonnes raisons de manger des endives
1- Ses atouts nutritionnels : son apport minéral est bien diversifié (surtout du potassium, du calcium, du magnésium). Elle est aussi riche en oligo-éléments (zinc, fer) et en vitamines (C, B9, B3).
2- Pas calorique. Composée à 95 % d’eau, c’est l’un des légumes les moins caloriques (17 calories pour 100 g) sensiblement comme le concombre.
3- Régule le transit. L’endive est intéressante pour sa richesse en fibres : 2,5 g pour 100 g. Préférez la cuite pour favoriser le transit intestinal.
4- Un diurétique naturel. Sa richesse en potassium (184 mg pour 100 g d’endives crues et 110 mg pour 100 g d’endives cuites), son action diurétique couplée à l’action rassasiante des fibres, en fait un aliment minceur privilégié.
5- Idéale pour nettoyer l’organisme d’un excès alimentaire. Sa légère amertume stimule en douceur les sécrétions digestives. L’endive facilite l’évacuation de la bile.

Mon astuce : quand les endives sont cuites, elles peuvent être un peu amères. Ajoutez une cuillère à café de sucre en poudre en fin de cuisson pour éviter cette amertume.
Comment les choisir ?
Choisissez-les bien fermes avec une base bien blanche, sans cerne marron. Les feuilles doivent être bien serrées, blanches et légèrement ourlées de jaune (et non pas ourlées de vert, un signe d’amertume). L’endive sera filandreuse si le talon est creux au milieu et noirci.
Pour en savoir plus : « les 50 aliments brûle-graisses » . Editions Larousse.
Disponible en librairie, à la Fnac, sur internet. Si vous avez du mal à le trouver, contactez moi.

Méfiez-vous des additifs alimentaires

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Attention, tous les additifs ne sont pas sans danger. Certains présentent une certaine toxicité plus ou moins grave pour notre santé et notre environnement. Depuis quelques années, on les retrouve mis en cause dans des phénomènes allergiques : réactions cutanées, asthme, urticaire, insomnies… Certains sont suspectés d’être cancérigènes et d’autres ont même été interdits.
Un exemple avec E 133 (bleu brillant FCF) : ce colorant bleu est un colorant synthétique employé dans les confiseries, les fruits confits, les gommes à mâcher. Attention, il peut, à fortes doses, engendrer des allergies, de l’asthme, des insomnies et de l’hyperactivité chez les enfants. N’en abusez pas.
Pour en savoir plus : « Les additifs alimentaires » aux éditions Larousse